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Avec, entre Jeff Bezos et Jean-Marie Messier : Nous avons appris le départ de Philippe Dewost de la Caisse des Dépôts début septembre. Il occupait jusqu'à présent les fonctions de Directeur adjoint de la Mission «Programme d'Investissements d'Avenir» où il pilotait le secteur de l'économie numérique (enveloppe initiale de 4,25 milliards d’euros).
Philippe Dewost a commencé sa carrière professionnelle chez France Telecom comme co-fondateur de Wanadoo en 1995. Il a occupé des rôles de dirigeant dans plusieurs startups (Ukibi, Realeyes3D) avant de rejoindre en 2009 ImSense, une start-up de Cambridge spécialisée dans le traitement d’images, acquise par Apple en 2010 et dont la technologie eye-Fidelity est désormais utilisée 1/2 milliard de fois chaque jour.
L’ex pilote du rapport French Tech en 2013 rejoindra début Septembre un Groupe du CAC40 dont le nom n’a pas encore été révélé.
La start-up parisienne Stanley Robotics vient d'officialiser une levée de fonds de 3,6 millions d'euros auprès d'Elaia Partners, de Bpifrance (via le fonds Ville de demain) et d'Idinvest Partners. Fondée en 2015, Stanley Robotics a développé un robot voiturier baptisé Stan. L'automate est le fruit d'une dizaine d'années de R&D, les fondateurs ayant travaillé précédemment dans un laboratoire de recherche dédié aux technologies des véhicules autonomes. L'objectif de cette augmentation de capital est de déployer sa solution à l'international.Testé à l'aéroport de Roissy-Charles-de-GaulleDepuis le mois de février dernier, Stan est expérimenté dans deux parkings de l'aéroport de Roissy. "Il suffit au conducteur de garer sa voiture dans un box dédié à l'entrée du parking, puis de s'enregistrer sur un automate à proximité. Une fois le véhicule isolé du public, le robot se met en position, repère les pneus, s'ajuste à la longueur de la voiture, la soulève, puis la transfère", expliquent nos confrères de L'Usine Nouvelle. Le système est par ailleurs connecté au billet d'avion du conducteur et connaît donc sa date de retour. De cette façon, le robot ramène le véhicule dans le box situé à l'entrée du parking en temps voulu.Stocker 50% de véhicules supplémentairesSi ce service de voiturier autonome facilite l'arrivée et le départ des voyageurs stationnant leur véhicule sur de longues périodes dans les aéroports, il propose surtout des avantages significatifs aux gestionnaires des parkings. Selon les créateurs de Stan, ce service autonome permettrait d'optimiser le stationnement des véhicules et ainsi de stocker 50% de voitures en plus.D'après la start-up, les avantages de sa solution ne se limitent pas au seul gain d'espace. Elle permettrait de repenser entièrement la conception de nouveaux parkings où la présence du public serait interdite. Les contraintes réglementaires seraient alors significativement allégées, ce qui permettrait de diviser par deux le coût d'une place de parking, détaille L'Usine Nouvelle.Cap sur l'internationalLa start-up, qui emploie actuellement 25 collaborateurs, entend déployer sa solution dans d'autres régions du monde. "D'autres projets sont en cours de développement en France et à l'étranger. Le premier d'entre eux sera lancé d'ici la fin de l'année", indique-t-elle. "Europe, Amérique du Nord, Asie, Golfe… Nous regardons attentivement toutes les zones où le trafic aérien va exploser dans les prochaines années", précise Stéphane Evanno, COO et cofondateur de Stanley Robotics. La pépite parisienne n'est toutefois pas la seule à développer ce genre de service. En Allemagne, par exemple, le robot Ray, mis au point par l'entreprise Serva Transport Systems, a été testé à l'aéroport de Düsseldorf dès juillet 2014.
Over the last seven years, France’s Banque publique d’investissement, or Bpifrance, has been the world’s most active sovereign wealth fund investing in private tech companies. Bpifrance was originally set up as a sovereign investment fund in 2009. The government of Singapore owns the world’s second and third most active funds. These two funds are Temasek Holdings, which distributes dividends solely to Singapore’s Ministry of Finance, and GIC, the private equity investment arm of the government of Singapore Investment Corporation.
L’institution publique a rassemblé 11 partenaires pour créer un groupe de travail de place sur la technologie derrière le Bitcoin. Vous avez dit « blockchain » ? Cette technologie ouverte et libre, qui permet aujourd’hui la circulation de monnaies cryptées comme le Bitcoin, est loin d’avoir livrée tous ses secrets. Mais elle suscite un engouement inédit dans le secteur financier qui y voit le moyen de repenser complètement la manière dont il gère et authentifie les transactions. Surtout visible outre-Atlantique, cet intérêt se matérialise désormais aussi en France. Ce mercredi, ce sont des banques (BNP Paribas, le groupe BPCE, le Crédit Agricole), des assureurs (CNP Assurances et AXA), le Pôle de compétitivité « finance innovation », l’association Croissance Plus, le conservatoire national des arts et métiers et plusieurs start-up spécialisées dans cette technologie (Blockchain Solutions, Cellabz, Paymium) qui se sont rassemblés sous l’égide de la Caisse des Dépôts pour lancer un groupe de travail de place sur le sujet.
Pendant que Google et les constructeurs automobiles annoncent l'arrivée prochaine de voitures sans chauffeur, une révolution similaire est déjà en route dans les entrepôts. La start-up française Balyo a présenté hier sa première gamme complète de chariots élévateurs autonomes, en collaboration avec le constructeur allemand Linde, leader européen du secteur. Dans la foulée, l'entreprise annonce aujourd'hui un troisième tour de table de 10 millions d'euros auprès de ses actionnaires historiques, Seventure et bpifrance, rejoints par Robolution Capital et Linde. Depuis sa création, la société a levé au total 17 millions. A la différence des autres chariots automatisés, les modèles équipés par Balyo n'ont besoin ni de lignes au sol ni de réflecteurs pour s'orienter. Ils utilisent un Lidar (télédétection par laser) et un système embarqué pour dresser une cartographie de leur environnement, ce qui leur permet de s'adapter plus facilement à de nouvelles trajectoires. « A l'origine de Balyo, il y a une technologie qui nous permet de localiser un objet en mouvement de façon très précise, explique Fabien Bardinet, directeur général de l'entreprise, qui fut auparavant cofondateur d'Aldebaran Robotics. Nous avons choisi le marché de la manutention car il s'agit d'une des rares industries encore très peu mécanisées, ce qui veut dire qu'il y a un gisement de productivité considérable. » L'entreprise justifie le coût de son système - un chariot robotisé se loue moins de 1.000 euros par mois, contre 250 euros dans sa version classique - par un retour sur investissement rapide, « en général inférieur à douze mois ». Une centaine de chariots robotisés par Balyo sont déjà en activité en Europe. Grâce aux fonds levés et à son partenariat avec Linde, l'entreprise basée en Seine-et-Marne prévoit de passer à un déploiement massif dès cette année et de renforcer sa R&D pour faciliter la gestion de ses chariots-robots par les clients eux-mêmes.
Le Fonds Ambition Numérique du Programme d’Investissements d’Avenir (PIA) et Bpifrance via son fonds Large Venture participent la levée de fonds de 100 millions d’euros de Sigfox. Société toulousaine créée en 2011, Sigfox est spécialisée dans la connectivité des objets. Elle a pour objectif de déployer un nouveau réseau mondial de transmission pour les objets connectés. Ce réseau va permettre de connecter des milliards d'objets en optimisant la consommation électrique, tout en réduisant drastiquement la complexité et les coûts d'exploitation des solutions pour l’internet des objets. Cette levée fonds de 100 millions d’euros, record pour une startup française, va permettre à Sigfox d’accélérer fortement son développement à l’international.
Le Fonds national d’amorçage (FNA), géré par Bpifrance pour le compte de l’Etat dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir (PIA), a participé le 25 novembre à la création du fonds d’amorçage multisectoriel Cap Innov’Est d’un montant initial de 36 M€. Le FNA apporte 20 M€, la Région Alsace 4,5 M€, la Région Bourgogne 3 M€, la Région Franche-Comté 3 M€, et Safidi (filiale du Groupe EDF) 1,5 M€. Ils sont accompagnés par BNP Paribas, les Caisses d’épargne d’Alsace et de Bourgogne-Franche-Comté et Capital Investissement Franche-Comté pour un montant total de 4 M€.
The French-American networking company Alcatel-Lucent has invested €3 million ($4.1 million) in EBlink, a French wireless fronthaul specialist. Alcatel-Lucent is one of several telecommunications equipment players that’s very keen on putting as much as possible of the network into the cloud. Increasing numbers of mobile devices need denser networks made up of smaller cells, so it makes sense to virtualize the heavy-processing part of the base station and centralize it, so you can dynamically shift capacity around the network as you need it. Which is where EBlink comes in. The company specializes in wireless “fronthaul” – the connection between the small cell and a nearby fiber-connected macro site – for which it uses the unlicensed 5.8GHz band. EBlink claims to have the “highest spectral efficiency in the industry,” allowing it to provide an alternative to fiber “without sacrificing network performance.” Orange is already a customer.
Le 27 novembre 2013 avait lieu à Bercy le lancement officiel d’une nouvelle initiative gouvernementale pour dynamiser la place de la France dans la compétition numérique : “La French Tech”, l...
Jean-Pierre Jouyet, directeur général de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), a remis au Premier ministre le rapport de la mission de préfiguration des quartiers numériques qui lui avait été confiée sur la proposition de Mme Fleur Pellerin, ministre déléguée en charge des Petites et moyennes entreprises, de l'Innovation et de l'Economie numérique
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Start-up nation ?Deuxième atout, les décideurs internationaux classent la capacité de recherche et d’innovation au premier rang des atouts de la France, loin devant ses capacités touristiques et ses infrastructures. Un vrai changement d’appréciation."Ce n’est pas encore une image de start-up nation, mais c’est une perspective très positive", se félicite Marc Lhermitte.Un coup de chapeau à Fleur Pellerin, secrétaire d'Etat chargée de l'Economie numérique, qui a lancé la French Tech, ce label qui regroupe toutes les jeunes entreprises françaises technologiques. Flambeau repris par Axelle Lemaire et Emmanuel Macron, avec les encouragements de François Hollande. Ils se sont efforcés de promouvoir les start-up, mais aussi de rendre la fiscalité et les réglementations plus hospitalières.
Ces prix sont ouverts aux projets entrés dans une phase de réalisation, qu’ils émanent de particuliers, d’associations, d’entreprises ou d’organismes publics ou privés. Les candidats doivent postuler à l’une des six catégories suivantes: · Innovation urbaine : innovation technologique appliquée à la ville. · Participation citoyenne (Prix Le Monde-Inta) : décerné à un processus dans lequel les citoyens assument un rôle dans l’élaboration et la gestion des espaces et services urbains physiques et/ou virtuels ; · Habitat : projet innovant en matière d’espace de vie urbain (résidentiel, bureaux, matériaux nouveaux, etc.) ; · Mobilité : projet facilitant une circulation à dimension plus humaine et plus économe ; · Energie : projet visant à réduire l’empreinte carbone des villes ; · Action culturelle : innovation sociale et numérique de dimension culturelle et urbaine. Les candidatures européennes sont à envoyer (en français, en anglais ou en espagnol) à smartcities@lemonde.fr, avant le 19 février 2017 à minuit. Les candidatures des pays non-européens sont à envoyer (en anglais si possible) à smartcitiesint@lemonde.fr avant le 2 avril 2017 à minuit. Les éléments à envoyer pour postuler sont les suivants : · un lien vers une vidéo de trois minutes maximum qui présente la solution; · un texte de 3 000 signes maximum avec un descriptif de l’initiative, son ou ses objectifs, la nature de l’innovation, le calendrier prévu, les acteurs, le coût et le financement ; · un document officiel justifiant de votre identité et de l’existence juridique de votre structure. Un jury international composé de personnalités qualifiées examinera les candidatures et choisira les lauréats. Chacun des six prix est doté de 1 000 euros. Le jury sélectionnera parmi l’ensemble des candidats le lauréat du Grand Prix Le Monde- L’Atelier BNP Paribas, doté de 2 000 euros. Les prix européens seront remis le 7 avril 2017 à Lyon. Les prix internationaux seront remis à Singapour début juin En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/les-prix-de-l-innovation/article/2016/11/24/appel-a-candidatures-prix-europeens-de-l-innovation-2017-le-monde-smart-cities_5036994_4811683.html#6q8tid6Ao79uVqQy.99
Gonzague Grandval, vous êtes co-fondateur de la plate-forme Paymium et membre de l’initiative de place sur la blockchain : les conditions sont-elles réunies pour que la France devienne une figure de proue de la technologie bitcoin ? Il faut du temps pour que les innovations percolent au sein des grands groupes. Nous arrivons en France à un point où l’écosystème se met en place, avec des laboratoires dédiés à la technologie « blockchain » dans les banques, des start-up qui émergent et de nombreuses initiatives privées. La France est certes en retard par rapport aux Etats-Unis, mais l’initiative de place pilotée par la Caisse des Dépôts va dans le bon sens. Cette démarche, qui consiste à réunir de grands acteurs institutionnels pour réfléchir à ce que la technologie libre et ouverte « blockchain » peut apporter au secteur financier dans son entier, est d’autant plus constructive qu’elle prévoit d’organiser par la même occasion une montée en compétence technique et fonctionnelle collective de ses participants. Elle positionne ainsi notre pays en aiguillon sur le Vieux Continent et notre souhait est qu’elle puisse prendre à moyen terme une dimension européenne, voire qu’elle s’élargisse à d’autres activités que la finance.
La troisième édition des Napoleons se tiendra sous le parrainage exceptionnel de Stéphane Richard.
Le Pdg d'Orange ouvrira cette nouvelle édition consacrée au Temps. Il fera partager sa vision sur cette notion fondamentale, aujourd'hui transformée par l'impact des nouvelles technologies.
Davantage que sur la création d’entreprises, l’initiative French Tech se focalise sur l’accélération de la croissance des startups, pour passer du « start » au « up ». Dans cette perspective, l’initiative French Tech est dotée, à compter du 1er janvier 2015, d’une capacité d’investissement de 200M€, pour favoriser le développement des accélérateurs de startups privés en France.
L'investisseur français Partech Ventures lance un fonds de capital-croissance destiné à pallier le déficit d'acteurs européens sur le segment des start-upà fort potentiel et ayant atteint une taille significative. Baptisé Partech Growth, ce fonds vient de réaliser un premier tour de financement de 200 millions d'euros, et compte apporter entre 10 et 45 millions d'euros à chaque entreprise sélectionnée. Sont éligibles, « des start-up déjà avancées dans leur développement, avec un chiffre d'affaires de plusieurs dizaines de millions d'euros, réalisant entre 30 à 40% de croissance par an, et qui ont un produit ou une technologie ayant fait ses preuves et trouvé un marché », selon Omri Benayoun, associé du fonds. « Il y a clairement un déficit de financement dans ce segment: c'est un marché qui en Europe représente entre 150 et 200 entreprises par an, et aujourd'hui, seules 12 à 15 d'entre elles » reçoivent le soutien financier d'investisseurs, explique Bruno Crémel, également associé.
En janvier dernier, une mission gouvernementale sur la transformation numérique de l’économie française était confiée à Philippe Lemoine, Président du Forum d'Action Modernités et Président de la Fondation internet nouvelle génération, par les ministres de Bercy et la ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique. À l’issue de 9 mois de travaux, au cours desquels plus de 500 personnes ont travaillé ensemble sur la question de la transformation numérique de l’économie, le rapport de la mission Lemoine a officiellement été remis vendredi 7 novembre 2014 à Emmanuel Macron, Marylise Lebranchu, Thierry Mandon et Axelle Lemaire à l’occasion d’une présentation publique à Bercy.
Le cloud computing (ou informatique en nuage) et le big data induisent une transformation majeure dans l’usage du numérique par les entreprises de tous les secteurs économiques. Les enjeux associés portent non seulement sur l’activité et la création d’emplois au sein des acteurs du numérique, mais aussi sur les gains de compétitivités pouvant être réalisés par les entreprises utilisatrices. Les entreprises doivent continuer à innover autour de ces solutions pour bâtir une position significative sur le plan technologique et industriel en France et en Europe pour le cloud computing, et identifier les opportunités majeures de création de valeur pour le big data.
Jean-Pierre Jouyet, directeur général de la Caisse des Dépôts, avait remis le 28 juin au Premier ministre le rapport de la mission de préfiguration des « Quartiers numériques ». Le Gouvernement vient de le rendre public. Le conseil des ministres du 10 octobre 2012 a été l’occasion pour le gouvernement d’affirmer sa volonté d’asseoir l’attractivité internationale de la France dans le numérique. La préfiguration d'un projet de Quartiers numériques a été confiée au directeur général de la Caisse des Dépôts par une lettre de mission du Premier ministre en date du 8 février 2013. Cette mission, présidée par Catherine Mayenobe et dirigée par Philippe Dewost, a été conduite en mode projet, et a remis au gouvernement son rapport fin juin comme prévu. Les 8 recommandations de ce rapport s’appuient sur une consultation publique mise au point par la mission et lancée le 8 février 2013 sur le site du ministère du redressement productif ; cette consultation a recueilli près de sept cents réponses et propositions dont une cinquantaine en provenance de l’étranger. Ces réponses ont permis de mieux cerner les besoins des entreprises du secteur et de dessiner les contours et le contenu d’un Quartier numérique.
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Escape Velocity = vitesse de libération